C’est ainsi que, dernièrement, le pape n’exprima publiquement rien de moins, au fond, que son intention d’inventer comme un huitième sacrement de l’Église ; assurément l’ultime : la pseudo-vaccination.
On s’attend à ce que de telles diatribes aventurées émanant d’autorités ecclésiales se piquant de casuistique - il en va de même d’aucuns, issus d’obédiences différentes, prompts à galvaniser leur auditoire en évoquant, ravis, la survenue imminente de catastrophes prodigieuses - portent finalement les fidèles à se questionner sérieusement sur le bien-fondé spirituel des buts poursuivis par ceux qui les énoncent. Ces fidèles en vérité seraient ainsi disposés à rechercher sans délais une alternative à ce qui tend de nos jours à s’imposer à tous, sinon à l’intelligence du cœur, du moins au mental et aux sens. Ils pourraient alors s’engager sur la voie de sortie la meilleure d’une représentation de l’Univers parvenue à un tel point de corruption : de perversion, qu’elle ne peut plus être cautionnée par une personne ayant un cœur sincère.
Or, l’École bouddhiste menant aisément à la plus haute réalisation spirituelle : la Véritable École de la Terre Pure, se propage en Occident.
Des conceptions telles que l’Époque des Cinq Corruptions et l’Époque de la Décadence de la Loi permettent en effet à cette École bouddhique, d’une importance spirituelle majeure, d’offrir des réponses vraiment et réellement bénéfiques : opératives, aux interrogations et aspirations des personnes qui n’acceptent pas ce vers quoi la société contemporaine tend de façon toujours plus accélérée : l’« infra-transhumanisation » des nouvelles générations, l’insoutenable dérive concentrationnaire des mégalopoles, l’hyper-contrôle de tous et de chacun par d’omniprésents miradors émetteurs-récepteurs quasi omnipotents, la commande à distance de l’aliénation ainsi que de l’élimination du « dividu » : la personne divisée en et contre elle-même, les thérapeutiques génocidaires, entre autres éléments structurant l’enfer sur terre.
Puissent tous les êtres obtenir la paix et le bonheur ! NAMU AMIDA BUTSU !
Révérend G. Bezençon
* Sans faire preuve de « manichéisme », on peut dire qu’en l’Homme, il y a la personne intérieure, dont le cœur charnel est retourné vers le Cœur Transcendant, le lieu de l’Éveil de la Plénitude Définitive, et il y a la personne extérieure, dont le mental et les sens se projettent dans un plan extérieur jugé attirant malgré son caractère insatisfaisant, impermanent, insubstantiel. En outre, la personne intérieure, sage, ne se laisse pas manipuler. Celui pour qui cette pratique perverse revêt le plus grand intérêt pourra néanmoins se consoler de ce manque de profit, en flattant les penchants de la personne extérieure, ce qu’il fera sans vergogne, encore et encore ! Le monde politique n’en donnera-t-il pas d’ici peu un exemple remarquable ? Un peuple, fort de l’expérience calamiteuse - pourtant aisément prévisible ! - que lui aura fait subir tout au long de son mandat son dernier pire Président, portera son choix, malgré tout, lors des prochaines « élections », sur le pire d’entre les pires candidats à la Présidence, pire, assurément, que le Président sortant ! La société contemporaine, savamment massifiée, est en effet parvenue à un tel point de débilisation individuelle et collective qu’il suffit à ses dirigeants, vraiment excellents dans cet exercice, de formuler leurs mots « d’ordre » de la façon la plus stupide possible pour qu’ils soient « compris » et suivis par une majorité aliénée prompte à s’enthousiasmer, mais de manière laïque, profane… Certes, eu égard à cette nouvelle période de déliquescence sociétale contrôlée, un cynique peut dire avec une belle assurance: « dans la société du spectacle, on n’a pas fini de rire ! »
